N’ayez plus peur des contraintes de l’immobilier français : investissez en Floride !
En Floride, pas d'encadrement des loyers, de prélèvements sociaux etc…mais plus de liberté et une fiscalité bien plus avantageuse qu’en France !
Le marché immobilier à Orlando subit quelques changements ces derniers temps mais reste stable et se maintient à flot, contrairement à beaucoup d’autres pays et états américains actuellement.
Le prix moyen d’une maison a augmenté de 6% en 1 an et les stocks sont restés bas avec seulement 2 mois de maisons d’inventaires. Et le marché reste favorable avec des possibilités de négociation pour les acheteurs, notamment dû au ralentissement des ventes (-12% en 1 an).
Un ralentissement qui est cependant loin d’être inquiétant et que l’on peut notamment expliquer par la hausse des taux d’intérêts qui freinent naturellement les mises en vente et donc les achats. Heureusement, l’installation de nouveaux habitants (attirés entre autres par les taux d’emplois importants de la région), nous apporte de nombreux nouveaux acquéreurs qui permettent à Orlando de rester stable sur son marché immobilier.
Pas de panique : la Floride a encore de beaux jours devant elle et présente de nombreux avantages que l’on est loin de retrouver sur nos terres françaises.
Assommés par les nouvelles normes énergétiques et environnementales, l’encadrement des loyers, le durcissement du crédit, les obligations de diagnostics, les taxes sur les propriétaires, les loyers impayés, les impôts…. Les français se découragent et perdent l’envie d’investir sur leur territoire et on les comprend !
C’est pourquoi beaucoup d’investisseurs francophones se tournent vers la Floride, destination numéro 1 des acheteurs étrangers, où se déroule 24% des ventes internationales. Cf notre article « The Sunshine State of Mind ».
En Floride, pas d’encadrement des loyers, de prélèvements sociaux etc…mais plus de liberté et une fiscalité bien plus avantageuse qu’en France !
En bonus : la loi floridienne garantit une protection des propriétaires contre les mauvais payeurs !